Bac Maths 2025 : le programme et les chapitres les plus importants

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Le Bac, c’est pas (juste) une épreuve, c’est un tremplin
Tu te demandes peut-être par où commencer pour réviser les Maths pour le Bac 2025… Et franchement, je te comprends à 100%. Le programme est dense, tu entends parler de logarithmes, de fonctions dérivées, de suites… et parfois, on dirait un autre langage. 😅
Mais respire un coup : t’es pas seul·e. Je suis là pour t’aider à y voir clair, avec un plan d’attaque efficace, des explications simples, et même quelques anecdotes (oui, les maths ont aussi leur lot d’histoires croustillantes 👀). L’objectif ici, c’est pas juste que tu "survives" à l’épreuve de Maths. C’est que tu la comprennes, que tu révises intelligemment, et surtout que tu gagnes des points facilement.
Pourquoi c’est important de bien se préparer ? Parce que le Bac, ce n’est pas qu’un bout de papier. C’est ce qui te permet de choisir la voie que tu veux : une prépa, la fac, une école, une pause… Et réussir l’épreuve de Maths, c’est souvent un vrai + sur ton dossier, surtout si tu gardes la spé jusqu’au bout.
Dans cet article, je vais te guider sur :
- ce qu’il faut vraiment maîtriser dans le programme,
- les chapitres qui tombent tout le temps (et ceux qu’on oublie à tort),
- les erreurs fréquentes à éviter,
- et mes meilleures astuces de prof (testées et approuvées par mes élèves chaque année ✌️).
Allez, on plonge dans le programme ensemble ? Prépare ton cerveau et ta calculatrice, on commence par les fondamentaux !
1. Fonctions, dérivées et variations : la base de tout
Comprendre ce qu’est une fonction, vraiment 🧩
Avant de plonger dans les dérivées, on va poser les bases. Une fonction, c’est comme une machine. Tu donnes une valeur en entrée (x), elle te crache une valeur en sortie (f(x)). Facile à dire… sauf que parfois, la machine est capricieuse.
Tu vas rencontrer tout un tas de fonctions au programme du Bac Maths 2025 : fonctions polynomiales, exponentielles, logarithmes, racines carrées… Chacune a ses petites manies, ses règles, ses exceptions. Mais ce qu’on te demandera toujours, c’est de comprendre leur comportement : est-ce que ça monte, ça descend ? Est-ce que c’est positif ou négatif ? Est-ce que ça s’annule ?
Et pour ça, on a un super outil : la dérivée.
La dérivée : ton meilleur allié pour dompter les courbes
Alors oui, le mot fait peur, mais en vrai, une dérivée, c’est juste une façon de mesurer la vitesse à laquelle une fonction change. Si une fonction est comme une route, la dérivée, c’est le GPS qui te dit si tu montes ou si tu descends.
Concrètement, voici ce que tu dois absolument savoir faire :
- calculer une dérivée (avec les bonnes formules, c’est presque mécanique),
- lire un tableau de variation (et en déduire ce que raconte la fonction),
- résoudre une équation f'(x) = 0 pour trouver les extremums (les sommets de ta courbe),
- interpréter le signe de la dérivée pour dire “ça monte” ou “ça descend”.
Soit f(x) = -x² + 4x.
Sa dérivée, c’est f’(x) = -2x + 4.
On résout f’(x) = 0 → -2x + 4 = 0 → x = 2.
C’est là que la fonction atteint son maximum. Boom, t’as gagné des points.
- Oublier la règle du produit ou du quotient : beaucoup tombent dans le piège en dérivant des fonctions comme f(x) = x * e^x sans appliquer la bonne formule.
- Mal gérer les signes dans le tableau de variation : une petite erreur de signe et c’est toute ton analyse qui tombe à l’eau.
- Confondre maximum et minimum local avec les bornes du tableau : garde bien en tête que tout dépend du domaine étudié.
Quand tu fais un tableau de variation, fais-le toujours à la main au brouillon d’abord. Pas sur la copie direct. Pourquoi ? Parce que tu peux te corriger plus facilement si tu t’es trompé de signe ou de valeur. Et puis, ça te permet de visualiser la courbe dans ta tête.
2. Suites numériques : croissance, convergence et modélisation
Les suites, c’est quoi exactement ?
Imagine que tu poses une règle sur la table et que tu avances case par case. Une suite, c’est ça : une succession d’étapes, de valeurs, calculées les unes après les autres.
Tu peux les définir de deux façons :
- soit de manière explicite : uₙ = 2n + 1, par exemple,
- soit par récurrence (ou définition "récursive") : uₙ₊₁ = 2uₙ + 3.
Chaque année, au Bac Maths 2025, les exercices mélangent les deux approches. Et spoiler : maîtriser les deux est obligatoire.
Croissance, décroissance… et stabilité 🔁
L’un des objectifs classiques au Bac, c’est de déterminer le sens de variation d’une suite.
Est-ce que ça augmente, ça diminue, ou ça fait n’importe quoi ?
Tu vas souvent devoir :
- comparer uₙ₊₁ et uₙ pour conclure (→ méthode classique),
- ou étudier la fonction associée à la suite si elle est définie de façon explicite.
uₙ = 3 + 1/n
Quand n augmente, 1/n diminue → donc uₙ diminue aussi.
→ Conclusion : la suite est décroissante.
Limite et convergence : le Graal des suites 🔚
On te posera très souvent une question du genre : “La suite converge-t-elle ? Si oui, vers quelle valeur ?”
👉 Une suite converge quand, au fil des n, ses termes s’approchent de plus en plus d’un nombre fixe (la limite).
👉 Une suite diverge si elle part en vrille (vers +∞, -∞ ou en oscillant sans fin).
Tu dois maîtriser :
- les propriétés classiques (une suite croissante et majorée → elle converge),
- les démonstrations par récurrence (on en parlera plus tard 👀),
- et savoir déterminer une limite quand on te donne une formule.
- Croire qu’une suite explicite est forcément croissante : FAUX. Le terme peut très bien décroître.
- Oublier de comparer uₙ et uₙ₊₁ avec le bon raisonnement (certains font des soustractions inutiles au lieu de justifier avec des signes).
- Confondre limite finie et limite infinie : attention, écrire lim(uₙ) = ∞, c’est pas du tout pareil que dire qu’elle converge.
Quand t’as un doute sur la variation d’une suite, imagine-toi en train de la tracer comme un graphique. Si les valeurs montent, descendent ou oscillent, tu verras vite le sens général. Et si t’es visuel·le, fais un tableau de valeurs sur ta calculatrice pour te faire une idée.
3. Probabilités et lois usuelles : comprendre le hasard pour mieux le dompter
Le monde est incertain… mais les maths, non ! 🎲
Tu tires une carte, tu lances un dé, tu choisis une personne au hasard… Toutes ces situations ont une chose en commun : on ne peut pas prédire le résultat, mais on peut prévoir les chances que ça arrive. C’est ça, les probabilités.
Et dans l’épreuve du Bac Maths 2025, tu vas devoir :
- modéliser des expériences aléatoires,
- utiliser des lois de probas (genre loi binomiale ou loi normale),
- interpréter des résultats, des graphiques, des probabilités conditionnelles…
L’arbre de probas : ton meilleur pote pour voir clair 🌳
Quand tu dois étudier plusieurs événements liés (ex : "on tire deux boules l’une après l’autre sans remise"), le schéma en arbre est une arme redoutable. Il t’aide à visualiser toutes les issues possibles.
Mets bien les probabilités sur les branches, pas juste les événements.
Ensuite, pour calculer une proba totale, tu multiplies sur les branches et tu additionnes entre les chemins.
Et pour les probabilités conditionnelles, retiens cette formule magique :
P(A ∩ B) = P(A) × P(B|A)
Oui, c’est du chinois au début. Mais avec des exos, ça rentre vite.
La loi binomiale : pile ou face, puissance 10 🪙
C’est LA loi des épreuves répétées identiques.
Tu fais un lancer (succès/échec), tu répètes ça n fois → c’est une loi binomiale.
Tu dois savoir :
- identifier quand c’est binomial (nombre fixe d’épreuves, indépendantes, 2 issues possibles),
- calculer une proba avec la formule :
P(X = k) = C(n, k) × p^k × (1-p)^(n-k)
(oui, les fameuses combinaisons C(n, k)… elles sont partout)
- utiliser ta calculatrice pour aller plus vite (mode “BinomD” = ton ami).
La loi normale : la courbe en cloche qui revient souvent 🔔
Elle ressemble à une montagne bien régulière. Elle modélise les phénomènes aléatoires continus (ex : tailles humaines, durées de vie d’un appareil…).
Tu dois :
- connaître la forme de la courbe (symétrique autour de la moyenne),
- utiliser la table de la loi normale centrée réduite (Z),
- standardiser une variable avec la formule :
Z = (X - μ) / σ
et interpréter un résultat genre : “la proba que X soit entre a et b est de…”
- Ne pas vérifier si les conditions sont réunies avant d’appliquer une loi.
- Oublier les arrondis (2 ou 3 chiffres après la virgule selon la consigne, c’est important).
- Utiliser la mauvaise formule (confondre binomiale et probas conditionnelles, par exemple).
Quand t’es bloqué·e, note tout ce que tu sais sur l’énoncé avant même de chercher une formule. Les probas, c’est souvent comme un puzzle : quand t’as les bonnes pièces sur la table, l’image se forme toute seule.
Et surtout : entraîne-toi. Ce chapitre est très “mécanique” — plus tu fais d’exos, plus tu gagnes en confiance et en vitesse.
4. Géométrie analytique & vecteurs : la logique du plan et de l’espace
Le plan, c’est ton terrain de jeu
Imagine une grande feuille quadrillée où chaque point a une adresse, avec un x et un y. C’est ça, le repère cartésien. Tout en géométrie analytique part de là.
Chaque point devient un couple (x ; y), chaque droite a une équation, chaque vecteur a une direction bien définie.
Et au Bac Maths 2025, tu vas devoir :
- manipuler des équations de droites,
- placer et lire des points dans un repère,
- trouver des intersections,
- traduire des situations géométriques avec des vecteurs et des coordonnées.
Les vecteurs : plus simples qu’ils n’en ont l’air ➡️
Un vecteur, c’est une direction + une “intensité”. Il ne dit pas “où” tu es, mais “comment tu bouges”.
Par exemple, si tu vas de A(1 ; 2) à B(4 ; 5), alors ton vecteur AB = (4 - 1 ; 5 - 2) = (3 ; 3).
Tu dois savoir :
- faire des sommes et des différences de vecteurs,
- utiliser le produit scalaire (super outil pour détecter les angles droits ou calculer une norme),
- démontrer des alignements, orthogonalités, milieux ou parallélismes,
- et surtout… traduire une situation géométrique avec une écriture analytique.
Montrer que trois points A, B, C sont alignés ?
→ Tu regardes si vect(AB) et vect(AC) sont colinéaires.
Droites, intersections et distances 📏
Autre incontournable : l’équation cartésienne d’une droite.
Souvent, on te donne ou on te demande une équation de la forme y = ax + b ou ax + by + c = 0. Tu dois :
- déterminer si un point appartient à une droite,
- trouver le point d’intersection entre deux droites,
- calculer la distance d’un point à une droite (à l’aide de la fameuse formule… tu vois laquelle 👀 ?).
Et parfois, on pousse jusqu’à te faire modéliser une situation physique ou géométrique dans le plan, en mode “avancé mais faisable”.
- Oublier de vérifier les conditions (ex : si deux vecteurs sont colinéaires ou non).
- Travailler avec des points quand on te demande des vecteurs… ou l’inverse.
- Confondre les coordonnées d’un point avec celles d’un vecteur.
Un point = une position
Un vecteur = un déplacement
Quand tu travailles sur une figure, dessine-la systématiquement. Même vite fait. Ça te sauvera des erreurs de sens, d’orientation ou de position. Et si tu vois le triangle ou la droite dans ta tête, tu comprendras mieux ce que te demande l’énoncé.
5. Logique, raisonnement et démonstration : les maths qui parlent
Les maths, c’est pas que des chiffres. C’est aussi des idées !
Tu t’es déjà demandé pourquoi on disait que "deux entiers consécutifs n’ont jamais le même carré" ? Ou comment on peut prouver qu’une expression est toujours positive ?
Bienvenue dans le monde de la démonstration mathématique.
Au Bac Maths, tu seras évalué·e non seulement sur ce que tu trouves, mais aussi comment tu le prouves. Et spoiler : un résultat sans justification, c’est souvent un résultat qui ne compte pas.
Les différents types de raisonnements que tu dois connaître 🔍
-
Le raisonnement direct :
Tu pars de l’hypothèse, tu déroules un raisonnement logique, et tu arrives à la conclusion. C’est le plus classique. -
Le raisonnement par contraposée :
Plutôt que de prouver A ⇒ B, tu prouves ¬B ⇒ ¬A. Oui, c’est stylé — et parfois beaucoup plus simple. -
Le raisonnement par l’absurde :
Tu supposes que ce que tu veux démontrer est faux… et tu montres que ça conduit à une contradiction. Très puissant. -
La démonstration par récurrence :
Le pilier de ce chapitre. Tu veux prouver qu’une propriété est vraie pour tous les entiers n à partir d’un rang donné ?- → Étape 1 : tu vérifies que c’est vrai pour n = n₀ (initialisation)
- → Étape 2 : tu supposes que c’est vrai pour n, et tu montres que c’est aussi vrai pour n + 1 (hérédité).
- → Conclusion : par récurrence, la propriété est vraie pour tout n ≥ n₀.
P(n) : 1 + 2 + 3 + ... + n = n(n + 1)/2
Tu dois prouver que c’est vrai pour tout n ∈ ℕ. C’est du classique de chez classique.
Les mots qui font gagner des points 📈
Dans une copie, la rigueur de la rédaction fait toute la différence.
- 👉 Utilise toujours des connecteurs logiques :
"Donc", "Or", "Supposons que", "On en déduit que", "D’après l’hypothèse", etc. - 👉 Et surtout : sois précis·e. Évite les "ça fait pareil", "on voit que", ou "c’est évident". Ce qui est évident pour toi ne l’est pas pour le correcteur 😉
- Oublier de conclure : "Donc la propriété est vraie pour tout n ≥ …" — cette phrase vaut des points à elle seule !
- Confondre démonstration et calcul : résoudre une équation, ce n’est pas démontrer qu’une propriété est toujours vraie.
- Sauter des étapes de raisonnement : on pense que le correcteur "verra ce qu’on a voulu dire", mais non, il veut lire chaque étape.
Rédige toujours ta démonstration au brouillon avant de la recopier. C’est comme un mini discours : il faut qu’elle se tienne du début à la fin, avec un fil conducteur. Et plus tu t’entraînes, plus ça devient naturel.
6. Analyse de données et statistiques : quand les maths rencontrent la réalité
Les stats, c’est pas juste pour les journalistes
Tu l’as peut-être remarqué : on voit des pourcentages, des moyennes, des écarts-types partout dans la vie.
Un sondage d’opinion, un test produit, les résultats d’une classe, la répartition des notes... Ce sont des données, et les maths nous aident à les lire, les comprendre, et ne pas se faire avoir.
Dans l’épreuve de Maths du Bac 2025, tu pourras tomber sur :
- des tableaux de données à analyser,
- des indicateurs statistiques à calculer,
- des interprétations à faire à partir de représentations graphiques.
Les indicateurs à connaître absolument 🧠
Voici ta boîte à outils :
-
Moyenne : la valeur "centrale" d’une série.
✏️ Attention : ne te laisse pas piéger par les pondérations ! Si on te dit que certains éléments "comptent plus", tu dois utiliser la moyenne pondérée. -
Médiane : la valeur qui partage la série en deux.
Astuce : si la série a un nombre pair de valeurs, tu fais la moyenne des deux centrales. - Étendue : différence entre la plus grande et la plus petite valeur.
-
Écart-type : mesure de la dispersion. Plus il est grand, plus les données sont éparpillées autour de la moyenne.
C’est souvent calculé par la calculette, mais tu dois savoir interpréter ce que ça signifie. - Effectifs, fréquences, cumulés : ces mots doivent te devenir familiers. Surtout dans les tableaux.
Représenter, lire, interpréter 📈
Au Bac, on peut te proposer :
- des diagrammes en bâtons, en secteurs (camemberts), ou en courbes,
- un nuage de points, avec parfois une droite d’ajustement affine.
👉 Tu dois être capable de :
- extraire l’info pertinente du graphique,
- justifier une tendance (ex : “la série semble croissante”),
- utiliser une équation d’ajustement linéaire pour estimer une valeur (super fréquent !).
On te donne un nuage de points représentant l’évolution d’un prix en fonction du temps.
Tu dois trouver l’équation de la droite d’ajustement et en déduire une prévision pour une année donnée.
- Lire trop vite un graphique et mal repérer une valeur.
- Utiliser la mauvaise formule pour la moyenne (surtout pondérée !).
- Confondre médiane et moyenne — elles ne disent pas la même chose du tout.
- Oublier l’unité dans une interprétation ou une estimation.
Les stats, c’est comme une enquête policière : il faut regarder tous les indices (les données), repérer les anomalies (valeurs extrêmes), et formuler des hypothèses cohérentes.
Et surtout : fais parler les chiffres. Au Bac, une bonne phrase d’analyse peut te rapporter plus de points qu’un simple calcul.
Le Bac Maths 2025, tu peux le dompter
On a parcouru ensemble tous les chapitres essentiels du programme de Maths pour le Bac 2025. Si t’es arrivé·e jusqu’ici, bravo ! 🎉 Franchement, y’a déjà un truc qui joue en ta faveur : tu prends ta réussite au sérieux. Et ça, c’est déjà un pas de géant.
Voici un petit récap rapide :
- ✅ Fonctions & dérivées : la base pour comprendre les variations, les extremums, les courbes.
- ✅ Suites numériques : modéliser, analyser, trouver des limites et des tendances.
- ✅ Probabilités & lois : du hasard, mais avec méthode. Binomiale, normale, conditionnelles — tout y passe.
- ✅ Géométrie & vecteurs : lire et décrire le plan avec logique et rigueur.
- ✅ Raisonnement & démonstration : prouver, structurer, convaincre.
- ✅ Statistiques & données : faire parler les chiffres, comprendre la réalité.
Bonus : Mes conseils pour réviser efficacement (et intelligemment)
- 🗓️ Fais-toi un planning simple : 30-45 min par jour, en alternant les thèmes. Vaut mieux 3 sessions de 40 minutes que 3h d’un coup.
- 📝 Commence par ce que tu comprends déjà : tu renforces ta confiance. Ensuite, attaque les chapitres plus durs.
- 🔁 Refais les exos qui t’ont bloqué une première fois. C’est là que tu progresses.
- 🧑🏫 Explique les notions à quelqu’un d’autre (même à ton chat 🐱). Si tu sais expliquer, c’est que tu as compris.
- 📱 Utilise ta calculatrice à fond : deviens un·e pro du mode table, du solveur d’équation, du mode stat… Ça te fera gagner du temps le jour J.
- 😴 Ne néglige pas le repos. Un cerveau fatigué, c’est comme une calculatrice sans pile. Il bugue. Alors dors, hydrate-toi, et respire.
Tu n’as pas besoin d’être parfait·e.
Tu as besoin d’être organisé·e, régulier·e, et confiant·e.
Chaque point compte. Chaque effort aussi.
Tu veux réussir le Bac Maths 2025 ? Tu peux.
Et je suis là pour t’y aider, jusqu’au bout. 🧡
Tu veux gagner du temps, éviter les pièges, et aller droit à l’essentiel ?
J’ai condensé tout le programme du Bac Maths 2025 dans des fiches ultra claires et efficaces, pour t’aider à réviser sans galérer.
Tu n’as plus qu’à apprendre ce qui compte vraiment. Je m’occupe du reste. 💪